Dante

Joueur

Prénom : Arnaud
Âge : 19 ans
Centres d'intérêts : Air soft gun
Comment avez vous connu le forum ? : Par forumactif

Personnage :

Prénom : Dante
Âge : 30 ans
Race : Demi-démon
Vocation : Chasser les démons, il n’a pas d’autre raison de vivre.

Description Physique :
Dante à un corps que l’on pourrait qualifié de parfait, du moins pour un humain. C’est un homme relativement jeune, son corps d’athlète aux épaules larges est musclé et puissant, autant dans la rapidité que dans la force brute. Les capacités de cet adversaire en font donc un ennemi très polyvalent et pas la même très difficile à combattre. Il y a tout de même une chose insolite chez lui, un héritage direct de son père : les cheveux totalement blancs. Cette chevelure de nacre et d’argent n’est pas courante chez les humains, mais elle n’est pas impossible pour autant, c’est pourquoi personne ne voit un monstre en notre héro en le voyant mais il attire vite l’attention rien qu’en se promenant dans les rues. Le reste n’est plus banal, ses yeux d’un bleu très clair magnifique sont terriblement envoûtants, ce sont des yeux de séducteur et il faut avouer qu’il faut souvent mouche malgré les résistances de ces dames. On ressent un certain vécu à travers eux, de la tristesse, des émotions et des sentiments alors que son visage lui est assez dur et carré, le contraste est surprenant et éveille une certaine curiosité pour le personnage. Les mirettes de notre héros ont déjà été capables de pleurer et c’est surtout cela qui les rend totalement unique. Contrairement à tous les démons et les monstres de tous les mondes, lui est capable de ressentir la douleur de la disparition d’un être cher et de l’exprimer, malgré sa fierté très masculine.

Du côté vestimentaire c’est assez particulier, alors que le commun des mortels s’habille d’un pull, d’une veste et d’un jeans lui préfère adopter son style à lui, qu’il change au fur et à mesure des années. Actuellement, il penche beaucoup pour une apparence basée sur le cowboy très classique du Texas mais mixé à sa façon. Ainsi, respectant cette ligne directrice, il a opté pour un pantalon de jeans rouge mais doublé de cuir noir, l’entre-jambe lui n’est pas recouvert comme le veut le style texan. Plus bas il porte des bottes de cuir noir mais recouverte pas une cape rouge décorée exactement comme le sont les fameuses santiags. Cependant l’on voit bien sur l’avant du pied la fermeture éclaire qui trahi l’improvisation de ces bottes qui donnent un léger clin d’œil au style disco. Heureusement plus haut cela s’arrange, s’améliore pour confirmer que notre héro n’a pas tant changer que ça, une ceinture de cuir brun avec une boucle en forme de tête de lion superbe et assez imposante vient soutenir le pantalon trop farfelu et annonce fièrement le reste de l’habillement. En haut il porte un habituel haut noir moulant, celui-ci a les manches longues mais retroussées avant le coude pour qu’elles ne recouvrent pas les avant-bras. Des gants de tireur, noirs, viennent recouvrir les mains du fils héritier de Sparda. De tireur car ces manicles-là sont parfaites pour manipuler les armes, en effet les doigts les plus inutiles de la main sont recouverts, mais par contre le pouce, l’index et le majeur eux n’ont pas gagné cette « protection ». En effet il s’agit uniquement d’un souci de confort car pour manipuler des magasins, mieux saisir les gâchettes de ses armes il lui faut sentir directement le contact du métal sur la peau, et il n’est pas le seul. Par-dessus le tout il arbore fièrement une redingote rouge aux manches retroussées juste après les coudes mais d’un rouge plus pâle qu’à l’accoutumé. Le vêtement semble assez vieux et donc un peu usé par le soleil ou simplement par le temps mais entre les mains de ce bon-vivant il ne risque pas de rendre l’âme avant un bon moment. Les épaules du manteau sont recouvertes de cuir toujours pour confirmer le style du cow-boy. Pourvue de deux grandes poches à l’extérieur et à l’intérieur, Dante se sert de ces deux dernières pour ranger ses fidèles Ebony et Ivory qu’il ne quitte jamais de vue. Ne fermant jamais le vêtement, Dante à décider de le fermer par trois boucles qui passent devant son ventre, rattachées aux deux pants de la redingote par des sangles de cuir noir. Pour finir le manteau est coupé à l’arrière au niveau de la cuisse jusque tout en bas, comme à son habitude. Nous finirons enfin cette description en parlant du visage de Dante qui est maintenant devenu un homme mûr et sérieux… mais en apparence seulement, son air mature est renforcé par la barbe de deux jours qu’il garde continuellement cependant, ce n’est pas demain la veille qu’il décidera de se coiffer.

Description Mentale :
Doté d’un esprit très bon enfant, Dante est quelqu’un qui aime rire, plaisanter sur des sujets la plupart du temps catastrophiques ou sensibles pour certaines personnes. Il aime provoquer les gens et les mettre en colère car il se sait assez puissant pour résister à presque n’importe qui. On le présente aussi comme quelqu’un de très froid, mais dans le bon sens du terme, il ne se vexera pas facilement, ne paniquera jamais ni ne désespérera. Son assurance est sans limite et il à tendance à trop se vanter malgré tout, il risque de tomber sur des os de taille un jour ou l’autre à cause de ceci. Mais dans le fond c’est un homme très sentimental. Il garde avec lui un souvenir des personnes disparues qui lui sont chères, ses armes en particulier, son amulette, elles avaient appartenues à des personnes mortes aujourd’hui et qui lui étaient proches. Contrairement aux autres démons, Dante a déjà réussit à pleurer, malgré une gêne à ce moment-là qui le poussa à essayer de faire croire que ce n’était que la pluie (déjà finie à ce moment-là). Cette action là, cette capacité qu’il avait à ressentir la tristesse et à l’exprimer, il pouvait la prendre de deux façons différentes. La première étant la plus agréable à entendre, qu’il n’était pas un démon, du moins pas à part entière, et la deuxième était que les démons pouvaient réellement pleurer. Bien moins agréable mais c’était ce que Lady lui avait enfoncé dans la tête, ne pouvant certainement pas admettre qu’il était plus humain qu’elle pouvait le croire. Ce n’est que par la suite, après la connaissance de Trish qu’ils se remontèrent le moral mutuellement et se persuadèrent qu’ils étaient humains tous les deux. Belle illusion, mais tant que ça leur faisait plaisir alors pourquoi pas. Cependant même après ça Dante à bien garder conscience qu’il était autre chose qu’un homme banal, il exprime sa joie de vivre en vivant simplement et en travaillant avec une joie débordante, c’est un bon vivant heureux d’exister malgré sa nature.

Armes :
-Rebellion :
Une épée très imposante, ayant appartenue à Sparda dans le passé qui l’a léguée à son fils. La lame est longue et plate, la garde est très particulière, une sorte de cage thoracique surplombée par un crâne à deux visages (l’un de chaque côté de l’épée). L’un des deux ouvre la bouche mais l’autre la garde fermée. Cette particularité de l’arme fait d’ailleurs penser à la dualité du personne qui est partagé par son côté humain et son côté démoniaque. La garde se compose encore de deux os sur les côtés avant de partir du crâne en un troisième os qui forme le manche, fini enfin par une boule surplombée d’une couronne de piquants. La lame, si chargée, est capable de lancer des lames d’énergie démoniaque rouge et peut être lancée pour servir d’un boomerang grossier mais surtout bourrin.
-Ebony & Ivory :
Les deux fidèles pistolets de Dante, il les a fabriqué lui-même. Utilisant son énergie démoniaque pour synthétiser les balles directement à l’intérieur du chargeur, c’est pourquoi il peut tirer presque à l’infini sans avoir besoin de recharger le magasin. Les armes sont blanches et noires, visiblement chacune appartenait à l’un des deux jumeaux. Dante les gardes pour leur puissance de feu et en souvenir de jeux ou de chasse aux démons que Vergil et Dante auraient pratiqués ensemble le pistolet à la main.
-Coyote A :
Un fusil de chasse à double canon tout habillé de noir. C’est une arme totalement humaine et n’a rien de particulièrement spécifique. Les cartouches utilisées sont de la grenaille, des dizaines de petites billes de métal partant en cône depuis les canons de l’arme, ce qui la rend moins efficace au fur et à mesure que la distance soit plus longue. Tout comme les deux pistolets aux canons longs, les munitions peuvent être chargées en énergie démoniaque pour augmenter la puissance destructrice. A noter cependant que le fusil fonctionne avec deux petits magasins dessous l’arme pour alimenter chacun des deux canons, mais à la différence d’Ebony et d’Ivory Dante ne peut synthétiser directement les balles à l’intérieur, ce qui le pousse à en faire un usage limité (5 doubles coups avant de recharger manuellement).
-Force edge :
C’est une arme de même type que Rebellion. Tout de même un peu moins grande que cette dernière, c’est l’épée que portait Sparda sous sa forme la plus faible. Cependant elle est déjà puissante et imposante mais son véritable pouvoir est enfoui en elle et ne peut être libéré que par les deux amulettes des fils du chevalier sombre. C’est alors qu’elle deviendra l’arme qui portait le nom de ce démon qui avait combattu les siens pour un peuple vulnérable. Elle atteindra alors une énergie sans encore d’équivalent et prendra une toute autre forme capable de s’ajuster selon les besoins de la personne l’utilisant. Mais pour le moment la lame n’est pas si forte que cela, Dante la porte surtout en souvenir de son père mais préfère sa fidèle Rebellion pour se battre. La lame est plus épaisse et un peu plus courte que sa concurrente. La pointe se forme par affinement de la lame et la garde est recourbée vers le tranchant en une pointe plate et longue de quelques centimètres, sans pouvoir être dangereuse. Elle est bien décorée et se prolonge en un manche torsadé avant de finir en un pommeau orné d’un petit crâne surplombé d’une corne unique.

Style de combat :
Dante est un chasseur de démons extrêmement polyvalent. Il est capable aussi bien de se servir d’armes de poings, que d’épées en passant par des nunchaku tout en restant très familiarisé avec les armes à feu. Ainsi il en résulte un personnage capable d’affronter ses ennemis à distance, aussi bien avec sa Rebellion qu’avec ses armes à distances que de monter au contact lorsque la tension commence à grimper. En effet s’il peut détruire un ennemi d’une seule balle il le fera, mais ceux étant plus solides méritant tout son attention, il privilégiera la discussion à l’arme blanche. Dante s’est créé plusieurs styles de combat, présentés ci-dessous.

-Swordmaster : Comme l’indique son nom ce style est basé sur une maîtrise parfaite de son épée. Il dénigre les armes à feu et concentre ses pouvoirs dans les lames et les armes de poings.
-Gunslinger : Style utilisant principalement les armes à feu, il s’agit d’utiliser une grande souplesse et une habilité impressionnante pour permettre d’utiliser les différentes armes à distance avec une efficacité maximale.
-Trickster : Trickster compte sur une mobilité supérieure pour mieux éviter de se prendre de mauvais coups. Ce style consiste en de petits coups de déplacements rapides au sol ou même en plein vol basé sur le même principe que le double saut. Poussé au niveau maximum, il permet aussi de se téléporter un court instant mais uniquement dans le but de laisser une attaque nous traverser.
-Royalguard : Style visant à se protéger plutôt que d’attaquer. Dante affectionne peu ce style de combat, mais il a ses bons côtés. En emmagasinant l’énergie des coups qu’il reçoit, il les libère ensuite au moment le plus opportun pour infliger des dégâts redoutables à une cible proche.
-Doppelganger : Après avoir eut certains déboires avec son ombre dans le Temen-ni-gru, Dante réussi à la soumettre et peut désormais s’en servir comme un double, combattant à ses côtés. Il va de soi que l’ombre ne fera pas qu’imiter les mouvements de l’original, elle possède sa propre conscience qui d’ailleurs en veut légèrement à son hôte. L’ombre est tout de même pratique pour doubler les dégâts infligés à une cible ou bien pour combiner ses attaques contre un même adversaire.
-Quicksilver : Suite à un combat presque acharné dans l’arène des terres interdites, Dante terrassa un démon capable de ralentir le temps et même de l’arrêter par moment. Comme récompense à sa victoire, Dante reçu le pouvoir de ce cheval géant et appris à l’utiliser avec une rapidité déroutante.
-Devil trigger : Pas vraiment un style mais un changement dans sa façon de combattre tout de même. En se transformant en démon Dante donne un grand coup de boost à ses capacités, mais cela aurait tendance à lui monter à la tête et à se surestimer. Bien qu’il soit assez puissant pour combattre n’importe quel adversaire, il lui arriva de s’en prendre de belles dans la figure par un surplus de hardiesse dû à cette sensation de puissance enivrante.

Histoire du personnage :

Il y a 2000 ans, les démons ont envahis le monde des humains. A cette époque, les deux mondes étaient liés, ouverts l’un sur l’autre par une tour construite par les humains, motivés par les promesses de pouvoirs fantastiques. Mais dans sa sublime grandeur Mundus ne tint pas ses engagements envers eux. Actuel seigneur des ténèbres, il décida de prendre le pouvoir sur ces terres incapables de se protéger, sans aucune défense contre les puissances démoniaques, et sans rien faire profiter à ses sujets. C’est ainsi que commença, pour l’humanité, un esclavage sans fin, sans pitié. Un esclavage uniquement engendré par la cruauté inégalée du seigneur maléfique. Uniquement voué à faire souffrir ces pauvres mortels qui n’avaient jamais demandé quoi que ce soit à personne.

Le légendaire chevalier sombre, Sparda, était lui aussi arrivé dans ces nouvelles contrées avec les légions de sujets dociles du monde souterrain. Voyant toutes ces souffrances déméritées infligées aux humains, il les prit en pitié. Quelle ironie, sa race pouvait-elle vraiment ressentir des sentiments ? Pouvait-elle vraiment éprouver de la compassion envers eux ? Jamais cela ne s’était présenté avant. Habituellement, les démons les plus puissants étaient les plus redoutables, les plus cruels et dangereux. Lui, était l’un des plus puissants, sa force était comparable à celle de son seigneur et maître, Mundus. Contre toute attente, Sparda se révolta contre les siens. Il repoussa avec une vaillance sans bornes les démons dans leur monde déchiré et en referma le passage pour toujours. Ce passage était le Temen-ni-gru, un immense édifice surplombant tout ce que l’homme avait put construire jusque là et qu’il construira jamais. Véritable symbole de l’avidité des humains qui l’avaient bâtit dans leurs noirs desseins. Le légendaire chevalier sombre verrouilla alors la tour avec deux clés et avec son propre sang. Il ajouta à cela le sang d’une prêtresse humaine, une prêtresse pure, ainsi il serait impossible pour quiconque d’amener à nouveau le monde des mortels à une fin inévitable. Impossible ou quasi impossible ? Pour plus de sécurité, Sparda prit des milliers de démons et les transforma en sept sceaux. Sept verrous d’une puissance démentielle, protégeant efficacement la barrière entre les deux mondes en l’empêchant de faiblir. Rien ne devait plus pouvoir passer, rien ni personne, plus aucun créature cauchemardesque, même Mundus était mis en échec.

Les années passèrent inexorablement, et tout comme il s’était montré capable de ressentir de la compassion, Sparda s’est avéré capable d’éprouver de l’amour. Il s’est éprit d’une femme, une humaine à la beauté incomparable. Blonde comme l’or et les prunelles comme les saphirs les plus purs des deux mondes. Il n’y avait pas à dire, il y avait du bon à avoir trahi les siens. C’est alors qu’il chercha à la séduire, ce qu’il réussit avec brio et de leur union naquit deux fils à la chevelure blanche.

Deux jeunes enfants vinrent donc faire de ce couple une famille accomplie. Ni totalement humain, ni totalement démoniaques. Ces enfants n’étaient pas aussi pleurnichards que les humains normaux, heureusement pour les deux amants. Mais doucement ils grandissaient et les années passaient avec eux. Ils firent preuves de capacités au-delà de celles des mortels, ce qui inquiéta l’une et rassura l’autre. Pour Sparda, les pouvoirs de ses enfants étaient capitaux car il fallait une certaine puissance pour le projet qu’il avait pour eux. En réalité, c’était plutôt une tâche, un devoir qu’il allait leur confier. Il leur confierait la destiné de l’humanité.

A la surprise de tous… mis à part une seule personne sur terre. La porte vers le deuxième monde s’ouvrit d’elle-même. Que pouvait-il bien se passer ? Seul Sparda avait l’air de le savoir. Il confia la double clé du Temen-ni-gru à sa femme et la laissa avec ses deux fils dans un dernier et tendre baiser. Il rejoignit la tour et rentra chez lui, accueillit par des légions et Mundus en personne. Son dernier combat l’attendait. S’il gagnait il mettait fin une fois pour toute à la menace qui pesait sur les mortels. Mais… C’était un combat impossible à gagner, pour quiconque… du moins en apparence. Alors que l’on pensait que même le légendaire chevalier sombre ne pouvait aller contre une telle fatalité, il vainquit le seigneur des ténèbres. Suite a sa victoire éclatante et effrayé par ses propres pouvoir, il lia tous ses pouvoirs à son arme. L’épée qui portait son nom devint Force Edge. Une lame puissante mais avec un potentiel bien plus redoutable, enfouit au cœur du métal maudit. Un potentiel qui ne pouvait être révélé que par la double-clé, la même que celle qui gardait le Temen-ni-gru bloqué sous terre. Contre toute attente, Sparda réussit à revenir. La vérité de ce retour, et tout le reste des faits du sauveur de l’humanité fut consignée dans un livre qui fut perdu. Perdu au milieu des autres avec sa légende. Cette vérité disait qu’étant un démon, il n’appartenait pas à ce monde. Sa réalité le rappela à lui, à son lieu d’exécution. C’était un châtiment auquel il ne pouvait couper. La punition réservée aux traitres. Ses pouvoirs restèrent avec son épée dans les tréfonds des ombres de l’autre monde. Mais rien ne parla du fait qu’il revint du monde des démons. Peut-être était-ce lui qui avait écrit ce fameux ouvrage, peut-être aussi qu’il avait voulu que ses enfants grandissent sans lui ou bien a-t’il simplement été rattrapé par le temps qui l’aurait emporté. Personne ne sait vraiment. Le livre raconte même qu’après le départ de son bien-aimé, Eva confia chaque moitié de la clé à l’un de ses fils. C’était ce qu’avait espéré Sparda, et comme toujours il avait put compter sur sa dulcinée. Le sort du monde resterait dans la famille, même après sa disparition.

Ainsi la vie devait continuer. Le sauveur avait définitivement disparu, lui et toute sa puissance. Toute l’humanité ne pouvait plus compter sur lui pour se protéger. Les humains devaient se débrouiller par eux-mêmes et vivre ainsi. Dante et Vergil, car c’était leur nom, étaient encore trop jeunes lorsque leur père partit à jamais. Ils ne se souvinrent pas de lui. Eva se refusa à leur dire toute la vérité, les origines, la nature de celui qui les avait quittés, elle garda donc pour elles ce qu’elle savait et vécu simplement avec les deux bambins, comme des humains normaux l’auraient fait. Les jumeaux n’eurent pas plus de déboires que les jeunes de cet âge. On les laissait de côté car ils n’étaient pas comme les autres. Dante s’en moquait et tentait tout de même d’être sympathique et jovial. Vergil, lui, ne le voyait pas de cet œil-là. Chacune des moqueries, chacune des choses qu’on lui faisait se suivaient automatiquement d’un retour subite et fracassant. A cette époque, Eva désespérait un peu de ce qu’était devenu son fils, souhaitant naïvement et intimement qu’il devienne un peu plus comme l’autre, plus tranquille et heureux. Chacune des réprimandes qu’elle tentait de lui faire, chacune des punitions n’avait aucun effet malgré que cette jolie maman soit la seule personne pour qui le jumeau maléfique ait du respect, avec son frère bien entendu. Tous les deux disposant d’une force supérieure à celle des jeunes humains de cet âge, il était facile pour eux de s’imposer en temps que les boss de la cours de récré. On finit par laisser le fils de Sparda au mauvais caractère complètement de côté, loin des gens et des mortels.

Sparda était loin, et son absence se faisait sentir. Les humains devaient se débrouiller et lutter par eux-mêmes contre les démons… les démons ? Oui, ils étaient de retour. Comment ? Personne ne le sait, peut-être des restes que le légendaire chevalier sombre n’avait pu exterminer. Ou alors une petite porte vers le monde souterrain ouverte quelque part. Personne n’en avait rien, aucune certitude, aucune preuve, que des rumeurs. Les mortels étaient friands de rumeurs sans fondement. Mais les humains se faisaient tuer ça et là, c’était indéniable. D’habiles chasseurs de démons se levèrent alors de la masse pour combattre au grand jour ce fléau qui revenait d’outre-tombe. Jamais on ne put voir une fin à ces affrontements. Ce n’était pas un ennemi dont on pouvait se défaire, c’était comme si ces prédateurs seraient à jamais présent parmi leurs proies. Les guettant à chaque instant, risquant à tout moment de tomber sur un être sans défense. Mais l’humanité s’habitua à vivre ainsi dans la peur. Aucune barrière ne pouvait empêcher ces créatures de rôder là où elles le voulaient.

A force de se promener partout, les démons finirent par trouver une certaine maison. Peut-être était-ce visé ? Peut-être n’était-ce que le hasard… Mais un puissant diable pénétra dans cette demeure qui abritait les deux jumeaux et la belle Eva. Ce fut la débandade. Bien que les deux fils soient plus forts que ne l’aurait été des enfants de leur âge. Ils ne purent combattre cet adversaire trop puissant pour eux. Dante dû se cacher dans la brèche d’un mur et assista à la mort de sa mère dans des souffrances atroces sans qu’elle ait put faire quoi que ce soit pour se défendre. Vergil, lui, dû fuir pour sauver sa vie. Son départ n’étant pas passé inaperçu, le démon lâcha la carcasse déchiquetée d’Eva qui s’écroula à terre. Le bruit fut étouffé par les borborygmes du monstre qui sortait en trombe et qui poursuivait le jeune fils. Il en voulait à la progéniture de Sparda. Il en voulait à un sang que les bambins ne savaient même pas qu’ils possédaient. Dans son action dite d’éclat, Vergil avait attiré suffisamment loin le démon pour permettre à Dante de s’enfuir, ce qu’il fit. Il rejoignit la première ville et fut intégré dans un orphelinat où il ne restait que très peu de temps pour tout dire. C’était un enfant très turbulent, il ne tenait pas en place et aimait beaucoup bouger. La vie « trépidante » d’un mortel n’avait pas l’air de lui convenir, il devait vivre plus dangereusement que cela. Il s’enfuyait régulièrement de l’orphelinat pour aller trainer on ne sait où, faire on ne sait quoi. La seule indication que l’on pouvait obtenir de lui était les vêtements écorchés ou sales qu’il portait à chaque fois qu’il rentrait, à croire qu’il se battait avec des fauves. Quelquefois il était un peu blessé, mais jamais rien de conséquent, cependant on ne put jamais obtenir quoi que ce soit de lui. Impossible de lui faire avouer ce qu’il faisait à l’extérieur pour se retrouver dans des états pareils.

Un jour il profita d’une de ses trop courantes fugues pour retourner à sa petite maison, là ou était morte sa mère, elle avait été enterrée depuis quelques temps maintenant. En fouillant dans le bâtiment il retrouva des choses de grande valeur sentimentales pour le jeune garçon. En particulier il trouva une certaine épée avec un mot dans la cave, Rebellion. Visiblement c’était un cadeau qui lui avait été légué de son père, un héritage, du moins c’est ce que le mot disait. Il la ramena à l’orphelinat et fut chassé par la directrice à cause de son refus de lui céder l’arme jugée trop dangereuse pour rester dans les mains de ce cancre trop solide pour n’être qu’un simple humain.

A compté de ce jour, Dante vécu seul, se débrouillant par lui-même. Il se fit bien vite une petite réputation pour ses capacités et combattait les démons quand il en trouvait, peut-être pour faire office de vengeance dérisoire pour la mémoire de sa mère. Jusqu’au jour où il sauva ainsi un passant d’un démon cherchant à le tuer. Le jeune garçon devenu un bel et redoutable adolescent comptait partir sans demander son reste lorsque le personnage encore à moitié terrifié lui donna une liasse de billets, trop heureux d’avoir été sauvé de la mort et surtout peu regardant avec les montants d’argent en un tel moment. L’homme avait été assez fortuné et permis au jeune homme de se fabriquer deux splendides armes à feu, l’une blanche et l’autre noire. Ces deux pistolets avaient été faits en souvenir des jeux que faisaient les deux fils de Sparda quand ils étaient petits. Ils s’amusaient à jouer à la chasse au démon tout en criant « Jackpot » au moment de leur donner le coup final. Que de souvenir, mais en parlant de souvenir, il en avait maintenant un pour chacun des membres de sa famille. Le collier de sa mère, son pistolet pour son frère, son épée pour son père. Dans ses airs fringuant et je-m’en-foutiste, Dante était aussi un grand sentimental.

Les années passèrent, le jeune homme monta peu à peu une petite agence, mais n’avait pas encore trouvé de nom à lui donner qu’il se faisait déjà appeler pour des affaires plus dangereuses les unes que les autres. S’il avait ainsi décidé de s’asseoir et ne dépendre plus que de lui pour gagner son argent, c’était pour la simple et bonne raison que jusque là il trainait un abruti qui lui dénichait les opérations à faire et profitait de ses capacités pour s’enrichir. D’ailleurs ce qu’il gagnait il le dépensait directement, en agréable compagnie, en champagne jusqu’à ne plus avoir un sous en poche. Ce n’était pas le cas de Dante qui se désintéressait totalement de l’alcool et filles dénudées. Non lui il préférait les choses simples, des Sunday à la fraise (mouais :/ invention pour l’anime, on a jamais parlé de Sunday dans les jeux) et des pizzas, voila tout ce qu’il lui fallait pour être heureux, même si sa vie semblait tout de même bien vide.

Vint alors le jour où une certaine tour surgit des entrailles de la ville, provoquant un bon nombre de changement dans la vie de ce chasseur de démon déjà expérimenté. Ce jour-là il s’éveilla, découvrant ainsi la partie démoniaque en lui, restée dans l’ombre jusqu’alors. Suite à de nombreuses pérégrinations dans le Temen-ni-gru et dans les profondeurs des terres interdites cachées sous la ville, il vainquit le Léviathan et d’autres joyeusetés jusqu’à ce que le monde des démons ne s’ouvre grâce à l’habile traitrise d’Arkham et à la naïveté d’une jeune femme affectueusement surnommée Lady. Suite à un affrontement titanesque entre le traitre et les deux fils de Sparda dans le monde des démons, ce dernier commença à se refermer, ne laissant que peu de temps aux jumeaux de régler leurs comptes. Dante sorti victorieux de l’affrontement et dû abandonner son frère qui dégringolait de la cascade après avoir refusé qu’il lui porte secours. Sur le chemin du retour il prit avec lui un souvenir encore plus fort de Sparda que sa Rebellion : Force Edge.

Suite à cette aventure, il se lia d’une amitié particulière avec Lady, particulière dans le sens très peu normale et non pas très forte. En l’honneur des larmes qu’il avait lâchées pour la disparition de son frère, il nomma son agence « Devil May Cry » et trouva sa vocation : Vivre pour tuer les démons, tout simplement, sans se poser de question ni chercher de réponses au sens de la vie ni au but de son existence.

OH NOM DE........DANTE....IL EST REVENU.
Bienvenus parmi nous, depuis le temps qu'on t'attendait (Et encore, c'est un doux euphemisme.)

Vergil va halluciner devant ta fiche, je pense.

Hey hey hey...voyez qui voilà...
Un vrai Dante, un pur, un dur, de muscles et de sang ! Ca manquait, par ici...( il faut dire que les personnages l'ayant joué on finit par l'abandonner. Voyons si tu tiendras la pression, Fils de Sparda ! )

Je te souhaite la bienvenue parmi nous, devil hunter !

Tout d'abord, félicitations pour cette fiche, de loin la plus complète que j'ai vue. Y'a pas à dire, t'as clairement le niveau pour jouer Dante. J'ose pas imaginer le temps qu'il a fallut pour faire cette fiche...mais le résultat est là, faut bien avouer. :3

Je suis tenté de te mettre de suite ton grade, mais je pense que je vais laisser ce plaisir à Vergil, qui depuis longtemps se sent trèèèès seul dans son manteau bleu...

Encore une fois, ravi de t'accueillir parmi nous, Dante ! Et au plaisir de te voir sur le forum...

Hahaha enfin des pommes sur la tarte aux pommes!!

Sa fait plaisire de voir la pomme prinsipale!! Faut vite que je le dise a Mistral!! C'est elle qui vas sotter de joi! (depuis le temps qu'elle voulait un RP avec Dante ^^)

[Et moi depuis le temps que je veu un RP avec Vergil... _ _']

Sa fait peur quand on voi tout ce que tu a marquer!!! Ta du y passer des plomb!!

Excuse moi si j'ai pas tout lu mais sa me donne malle au yeux le soir...En tout cas très belle présentation!!

.

Hello !

Hu hu hu... Ca fait toujours super plaisir de voir un Dante qui entre en scène =)

Surtout quand il s'agit d'un Dante capable d'incarner le perso. Alors pour ce qui est de ta fiche, ben côté orthographe grammaire et syntaxe, rien à dire, c'est propre clair et très agréable. Côté descriptions, c'est simple, et efficace, mais ce qui m'a le plus plu, c'est l'histoire, et là dessus j'ai vraiment pas mon mot à dire (pour une fois xD)

J'ai bien conscience que c'est hyper dur d'écrire la bio' d'un Fils de Sparda, et pourtant la tienne est extrêmement bien contée, j'ai adoré. Même si c'est pas exactement ça que j'imaginais, ça ne change rien.

Alors il ne manque plus que le test RP pour incarner notre cher Héros, propriétaire de la Devil May Cry, voici le thème :

Le temps humide, reflète la lourdeur d'une journée chargée de travail sanguinolent, la nuit est tombée, tout comme semblent l'être les nuages, par leur fraicheur tranchante, les bâtiments de béton semblent d'autant plus froids. Mais au travers d'un recoin d'une ruelle sinistre, il te semble aperçevoir une ombre bleue, à la chevelure de nâcre.

Si le sujet ne te conviens pas, je peux le changer, pas de problème ^^. Bonne chance, si tout se passe bien le rôle te sera attribué pour notre grand plaisir à tous =)

Ciao !

Wouaaaaaaaaaaaaaaaah!!! great!!! Enfin!!! C'est pas trop tôt! Enfin notre bon vieux Dante apparait devant nous tel un ange descendu du ciel... Euh... Un démon pardon... Enfin bref passons, ça fait plaisir de te voir.

Bienvenu!!!

26 ans ?! Il n'est plus tout jeune XD!

Salut bienvenue!

Wé enfin un Dante!! De puis le temps!! MDR

Eh bien eh bien ? Joli bug ou départ précipité ? Faites votre choix...

Si c'est un départ, Evan me doit 5 euros...

Euh, ca veut dire quoi, ce "Zouf"???
Quelqu'un peut m'expliquer???

J'ai pas tout compris, là.

Jigglypuff a écrit:

Je m'excuse de partir ainsi mais j'ai certaines raisons personnelles qui m'y poussent.
Sur ce je vous souhaites une bonne continuation =)

Vous pouvez supprimer ce compte.

Dommage. On dirait bien que Dante restera un fantôme pendant un certain temps !

Décidémen une malédiction pése sur le perso Dante.... MISTRAL c'est t'a faute! Y'a toujours hein hic la ou tu vas!!

[Faut bien que je l'embêtte....^^]

Bon on voi partire avec grand regrette un Dante a nouveau... (sorter vos mouchoire...)

test rp :

Le temps humide, reflète la lourdeur d'une journée chargée de travail sanguinolent, la nuit est tombée, tout comme semblent l'être les nuages, par leur fraicheur tranchante, les bâtiments de béton semblent d'autant plus froids. Mais au travers d'un recoin d'une ruelle sinistre, il te semble apercevoir une ombre bleue, à la chevelure de nacre.

Il avait plut quelques minutes plus tôt, la ville était encore trempée, l’air était humide. Les quelques rayons de la lune qui arrivaient à traverser les nuages encore haut dans le ciel se reflétaient dans les flaques d’eau. Une goutte tomba, puis une autre et encore une, elles coulaient d’un petit reste stagnant dans les chenaux mal ajustées d’un bâtiment modeste. Elles vinrent se fondre dans la masse d’une gouille formée par les pavés un peu trop enfoncés de cette partie de la chaussée. Puis quelque chose vint perturber la stabilité et la tranquillité de cette marre minuscule. Quelqu’un marchait dans la rue d’un pas lourd et las. Dante passait ici, dans cette rue qui se remettait à peine de cette pluie d’automne, il n’était guère très sec lui non plus d’ailleurs. Force edge sur le dos, les mains dans les grandes poches de son manteau, il semblait avoir eut froid, ou qu’il l’ait en ce moment-même. Trempé jusqu’à la moelle, il avançait tout de même à bonne vitesse, peut-être pressé par l’envie de retrouver son agence. Là il serait au sec et irait certainement se coucher la seconde suivant son arrivée, à moins que le téléphone ne vienne le tirer de sa quiétude.

Le visage légèrement baissé, il marchait vite, il passa tout droit à côté de cette fameuse ombre bleutée sans y faire attention. Provocation ou ne l’avait-il réellement pas vue ? Dans ce second cas on aurait put penser que l’héritier de Sparda était un bien piètre chasseur de démon. Alors que les autres restaient constamment sur leur garde, lui traitait le sujet de sa sécurité avec une certaine désinvolture flagrante. Il aurait été bien plus prudent de garder l’œil alerte et de porter quelques attentions à l’encontre de cette personne, ou de ce monstre qui se tenait là. Cependant, Dante n’avait pas du tout chômé durant cette journée, ni cette nuit d’ailleurs et n’était pas très prompt à s’enquérir de ce genre de « détail ». Il continuait paisiblement sa route pendant quelques mètres quand il se mit à ralentit progressivement. Une chose évidente, une sensation à la fois familière et de mauvais augures venait de le frapper.

Il marcha encore un dernier mètre et puis il s’arrêta. Il resta dos à cette ombre mystérieuse quelques secondes, le visage baissé, puis un sourire se dessina sur ses lèvres. Il poussa un léger soupire. Il était joyeux, surpris mais heureux. Une personne chère dont il avait toujours gardé un souvenir venait de refaire apparition ici dans cette ville.

*Donc tu t’en es sorti…*

Pour ce si fier combattant, pas question de montrer ses émotions, et surtout pas à cette personne en particulier. Mais pouvait-on vraiment le qualifier de personne ? Cet être caché par l’obscurité était-il encore réellement humain après tout ?

*Je pensais pas te revoir… Vergil*

Oui, ce ne pouvait être que lui, Vergil était revenu du monde des démons, mais comment ? Voila une question qu’il aurait été intelligente et constructive à lui poser, si seulement il avait été dans le tempérament de notre cher Dante d’aimer la conversation. Au contraire dans sa tête, la joie de retrouver son frère se mêla aux souvenirs de leur dernier affrontement. Cette dernière rencontre avait très mal finie. Après deux duels successifs, ils avaient finis par se battre côte à côte contre le même ennemi mais le destin voulu que dans le courant d’une rivière de sang, ils se combattirent une fois de plus, une ultime fois. Personne, même pas le fils maléfique de Sparda ne pensait réellement survivre au dénouement de ce combat. Car, mortellement blessé par son frère, il chuta de la haute cascade sur le bord de laquelle ils avaient opposé leur puissance respective. Suite à cette mort fictive, Dante avait même lâché quelques larmes, prouvant son désarroi et sa tristesse immense. Mais plus il repensait à tout cela et plus il s’en sentait perturbé, il prit une façade, se débarrassa de ses sentiments pour accueillir son jumeaux comme il se devait.

Il secoua la tête, chassant l’eau de ses cheveux qui se décoiffèrent un peu plus, il fit ensuite battre son manteau qui claqua, projetant l’eau qui l’envahissait et qui retomba bruyamment au sol. Il releva la tête et tourna sur lui-même pour se retrouver face à cette ombre qui perdait de son mystère. Le trop célèbre chasseur de démon affichait un air détaché, jovial, presque moqueur.

-Hey !

Une interpellation bien rude pour des retrouvailles, mais qui n’avaient rien d’agressive. Il est vrai que notre héro n’était pas taillé pour faire dans la dentelle, sans parler de son humour et de sa façon de parler très provocatrice. Rien de très bon ne pouvait sortir d’une discussion avec son frère. A moins que ce dernier n’ait pas spécialement envie de se battre, il y avait peu de chance pour que tout ne tourne pas en pugilat.

-Alors vieille branche on dirait que tu t’en es tiré. T’en as mit du temps !

Mais à l’esprit vif de l’héritier de Sparda vint germer une idée, ou plutôt un détail concernant la présence de son très cher jumeaux. La dernière fois qu’ils avaient fait « une réunion de famille », Vergil était totalement obsédé par l’envie d’acquérir le pouvoir de leur défunt père. A ce moment précis un mince rayon de lumière d’une lune timide perça les nuages pour venir frapper l’amulette que Dante portait autour du cou. Cette magnifique amulette d’or et ornée d’une pierre imposante, un rubis à la valeur certainement inestimable, brilla légèrement. Objet tant convoité par son frère démoniaque, ce démon pur à la chevelure de neige, c’était trop tentant pour ne pas profiter de s’en servir comme provocation directe. S’ôtant le bijou du cou, il la tint par la chaîne et la brandit devant lui, la laissant pendre avec un léger balancement de droite à gauche. Rajoutant une petite couche encore il la secoua un peu, ainsi il ne pouvait qu’avec l’attention totale de son tendre frère.

-T’es venu chercher ça ?

Mais aussitôt dit, il lança très légèrement l’amulette en l’air et l’attrapa fermement en vol, Dante referma ensuite le poing sur le bien que lui avait offert sa mère pour bien montrer qu’elle lui appartenait de plein droit et que rien au monde ne la lui ferait l’abandonner. Il plaqua alors la main avec son précieux contenu contre sa poitrine, son cœur plus précisément avant de prononcer quelques derniers mots.

-Malheureusement… je ne suis toujours pas disposé à te l’offrir, à moins que tu le demandes poliment, qui sait ?

Il haussa les épaules et rit un brin, un rire très provocateur mais bref. Arrêtant là ses fanfaronnades, l’illustre chasseur de démon toisa fixement l’autre fils de Sparda qui avait si mal tourné. Si seulement il y avait eut moyen de le faire changer. Mais il avait tout essayé en ce sens, la discussion qu’ils avaient eut avant leur ultime combat avait bien cerné la personnalité de ce jumeaux maléfique, mais… sa mort, elle, laissait un doute même léger quand à la réelle nature de son âme corrompue.

*Vergil… as-tu changé ?*


PS : Période de suroccupation au boulot terminée, mais vu le temps que j’ai fais pour revenir je vous réserve le soin de me rembarrer avec un coup de pied dans le cul =)
Plus sérieusement, les descriptions ont été refaites mais l'histoire à simplement été améliorée, le principal de l'histoire reste le même.

ha... enfin!

un vrai Dante!

Cool que tu es du temps, ca tombe pendant les instances en plus!

Re-bienvenue, non?

Enfinnnnnnnnnn!! Enfin, enfin, enfinnnnn!!!! Il revin!!

Pour les instenses! sa vas en fouetter un max!

(W)Hellcome back !

Ah, je vais pas m'étendre sur beaucoup de choses pour n'en dire qu'une seule : Ca fait plaisir d'avoir à nouveau un Dante, te voilà validé !

Une fiche remarquable, et comme il s'agit de Dante, que c'est le personnage principal de la série, celui qui démolis tout et que je suis Vergil () j'vais quand même poser quelques commentaires, et justifier mon choix :

Description physique : La description du style vestimentaire est vraiment bien, mais j'aurais aimé que tu appuies plus sur son visage, et surtout sur ses yeux, c'est quand même eux qui sont à l'origine du titre de la série, et qui font toute la renommée du personnage.

Description Mentale : C'est Dante, rien à redire, bien décrit.

Armes : Très bonne partie, avec des précisions et des détails importants, et bien complétée rien à redire.

Style de combat : même chose, c'est moins approfondi, mais compréhensible et pas besoin de s'étaler des masses pour dire que c'est le second après moi meilleur...

Histoire : Alors là j'ai été bluffé, de la créativité, de la finesse, fluidité et poésie, rien à redire, bien que je l'aie déjà lu j'en suis toujours resté étonné. J'ai beaucoup aimé, aussi parcequ'on n'a pas la même vision de l'histoire de Devil May Cry, je pense.

Test RP : Hé hé, j'avais dit que Dante voyait une ombre bleue à la chevelure Blanche, pas qu'il devait faire la rencontre ^^. (non je ne suis pas pointilleux...) Je voulais voir comment tu allais jouer Dante dans ses pensées, mais ton RP m'a satisfait.

Donc, en conclusion :

Devil Hunter Suprême/Fils de Sparda.

Mes félicitations !

Merci pour tes commentaires =) ça fait chaud au cœur de sentir son travail apprécié.

J'avoue que la description du visage m'est totalement sortie de la tête, je vais tout de même retravailler un peu la description physique et les styles de combats.

Mea culpa pour le test rp x) j'avais pensé devoir faire la rencontre, je comprends mieux ce que je devais faire maintenant.

ENFIN, IL EST LA, MON ADVERSAIRE QUE JE VOULAIS.
Bienvenue Dante, et viens te jeter sous les griffes du Seigneur Hellhammer
Je n'ai peut être pas eu ton père mais je t'aurais, toi.

Deimos, bien entendu, toujours aussi amical. Ca donne presque envie d'être un de ses potes.

Sinon, rebienvnue parmi nous, Dante.

Jacen Bluegrave a écrit:

Deimos, bien entendu, toujours aussi amical. Ca donne presque envie d'être un de ses potes.

Jacen, Jacen, mon petit Jacen...Je t'ai pas oublié, toi. Bon, faut dire, la dernière rencontre, je voulais te filer un mars en compensation de la bagarre, mais j'avais plus que des Twix, alors j'ai dit tans pis.