Nake Skyrel

[Nom du Personnage] Nake Skyrel

[Surnoms] Le Cowboy
[Âge] 19

[Espèce] Humain

[Grade Souhaité] A vous de juger

[Vocation] Devil Hunter

[Armes et Aptitudes]



Je possède un Colt anaconda de couleur argenté. Sa cadence de tir à été augmenté, et sa puissance de tir à été renforcé. Du coup je n’ai pas besoin d’avoir une arme de bourrin pour faire de gros dégâts. Ce bijou te fait d’énormes trous dans la peau. Cette arme est parfaite car elle est très légère et peut être utilisé dans un combat au corps à corps comme dans une rixe à distance.



Je possède également une arme redoutable, un dai Katana, sa lame légèrement courbée détient le parfait équilibre. lle mesure soixante sept centimètre. Forgé dans un métal quasi indestructible. Des gravures sont notées sur les deux faces de la lame. Nul ne sait ce que celles-ci représente.

Le corps à corps je maitrise, avec mes cinq années de Boxe Thai, il est pas né le type qui me mettra une dérouillé. Mes poings sont mes premières armes contre mes adversaires, je peux vous dire qu’un uppercut bien placé, ya de quoi vous faire retourner les méninges. A peine le temps de voir mon poing partir que vous vous retrouvez avec mon pied dans l’estomac ou mon tibia dans la cote. Maintenant quand le gars n’est par réellement humain, je sors l’artillerie et je n’hésite pas à dégainer mon colt anaconda. Les bastos fusent alors à une allure démentielle. Si l’enfoiré est trop près, la j’attrape mon dai katana et je peux vous assurer qu’on aura des tranches de sauce pour l’apéro. Bref je suis quelqu’un de sympas mais faut pas me chercher !

[Description Physique]

Me décrire ? Sans blague ? Vous savez ce qui est arrivé à la dernière personne qui m’a posé cette question ? Non je déconne ! Vous êtes démon ? Non ? Cool alors je vous renseignez sur mon look. Entre nous je me demande à quoi cela va vous servir ! Je vous demanderais juste de ne pas afficher ma tête n’ importe où hein ! Question d’éthique, Il ne faudrait pas que mes ennemis puissent me reconnaitre quand je leur tombe dessus ! Ce n’est pas bon pour le business.

Comme vous aurez pu le remarquer, je suis blond, et n’allez pas me lancer des vannes débiles sur les blonds. Mes cheveux sont long, peut être un peu trop pour un homme je peux le reconnaitre mais cela ne me dérange guère. D’après certaines personnes, j’ai les traits du visage fins. Un petit nez, mes lèvres sont fines et délicatement rosé. Ma pupille est noir, une noirceur semblable aux ténèbres, aux abysses des fonds marins. Je ne suis pas très poilu pour un homme. Quoi ? La preuve mes sourcils sont fins et réguliers, ils accentuent la moindre expression de mon regard. Le teint de ma peau est de couleur crème. Je me répète sans cesse qu’elle met en valeur mes yeux sombres.

On vous à jamais dit qu’il ne fallait pas demander la taille et le poids de…. Non je plaisante, ce genre de question pose problème aux filles mais pas à nous. Quoi que ? Vous êtes sûr de vouloir tout savoir ? Bon je me lance alors. Je mesure le mètre quatre vingt et je pèse soixante dix-huit kilos. C’est vrai que je ne suis pas le plus grand sur cette terre mais je me défends. Les gens disent de moi que j’ai une silhouette svelte et bien taillée. Les mauvaises langues, dirons que je m’entraine pour avoir ce corps mais ils se trompent, cette morphologie est encrée dans mes gènes. Je ne peux pas cacher qu’un entrainement quotidien est la solution pour entretenir votre corps.

Comment ca ce n’est pas terminé ? Vous avez encore des questions ? Comment je m’habille vous dites ? Mon style vestimentaire ? Je déteste les fringues trop tape à l’œil. Vous pigez ou faut vous faire un dessin ! J’ai horreur des couleurs flashi genre rose bonbon. Je préfère les teintes sombres. Vous pouvez observer que je porte un maillot marron clair, les manches sont longues et extrêmes souple. Vous saurez désormais que j’ai horreur d’être compressé. Le pantalon que je porte est noir également ample et souple. Je peux bouger avec aisance. Je revêts toujours aussi un manteau fin de couleur marron. Son encolure droite me remonte au dessous du menton. Je trouve que sa me donne un petit coté bad boy.


[Description Mentale]

Nake vu par son père:

Il possède une grande gentillesse, il ne peut pas s’empêcher d’aider les personnes qui ont besoin de lui. Il sait se montrer aimable avec les gens qu’il faut, mais surtout dans les situations qui nécessite cette qualité. Il possède un immense sens de la famille et une très grande dévotion envers les personnes qui lui sont chères. Très serviable avec les gens qu’il aime, il sera être aussi reconnaissant envers les personnes qui l’aide et qui le soutienne.

Nake perçu par son entraineur de Boxe:

C’est une vrai pile électrique. Il arbore toujours un sourire bienfaisant. Il sait ce montrer calme, posé et réfléchis, dans la de tous les jours ou lors d’un combat. Malgré toutes ses qualités, il fait preuve d’une agressivité sans limite envers les personnes qu’il n’aime pas. Il est également extrêmement paresseux mais arrive à prendre le dessus sur ce défaut quand cela est nécessaire. Il n’aime pas avoir tord et ne pourra jamais s’empêcher de répondre lorsqu’il s’agit de donner son point de vue.

D'après un rival:

Il veut toujours avoir le dernier mot. Il n’est pas bête mais très têtu, en effet lorsqu’il à une idée, il fera tout pour aller jusqu’au bout et ce même si il doit en payer le prix fort. Il fait preuve d’une détermination sans faille, il n’est pas du genre à baisser les bras si facilement. Doté d’un puissant mental, il ne pourra jamais se résoudre à perdre, quoi qu’il arrive, tout devra converger dans son sens… C’est un grand rêveur, c’est peut être ce qui le maintient encore en vie… Lui n’attend rien des autres.

Malgré les différentes facettes de son caractère, on se rend compte qu’il détient une deuxième personnalité. Au fond de lui, sommeil un autre visage, un être abjecte, atroce, machiavélique. Prêt à tout pour arriver à ses fins. Dans cet état d'esprit, il ne connaît plus personne, famille, amis... Il devient impulsif et les coups fusent, le rendant très vulnérable à une attaque réfléchie… Mais ces dires ne sont que murmure. Personne ne l’a réellement aperçut sous son vrai visage. Il à une très haute estime de lui même.

L'un des directeurs de son ancien Lycée:

C’est un voyou, un délinquant. C’est le genre de personne qui ne devrait pas entrer dans les établissements scolaires. Il saccage tout sur son passage. Tous les jours il y avait de la casse, des rixes. Ce n’est pas étonnant que plus aucun établissement de ce pays ne veuille l’accueillir. La liste des conneries qu’il à fait est tellement longue que sa prendrais toute la nuit pour vous l’énumérer .

[Autres] Vous voulez savoir autre chose sur moi ? Sans blague ? J’ai tout dit ! Bon ok ! (Nake remonte la manche gauche de son maillot et s’arrête au coude. Vous pouvez apercevoir alors un tatouage) Pfff ! Pas touche l’amis ! (Nake pose la main sur son colt qui est dans son holster) Je besoin de te faire un dessin ? (En voyant votre insistance, il dégaine et place l’arme sur votre tempe) Tu veux savoir ce qu’il signifie ? Je crois pas !

[Code de confirmation] Code Ok

Partie Supplémentaire :

Votre prénom ? Cédryc

Votre âge ? 22

Vos centres d'intérêts: Tout et rien xD

Comment avez vous connu le forum ? Je suis le fondateur et je suis de retour ^^

Qu'est ce qui vous a plu dans ce forum / qu'est ce qui serait à améliorer ? Le thème, les rolistes, les règles/ Manque de joueurs j'essaye d'y remédier

Un petit commentaire supplémentaire ? J'ai trop hâte de voir le nouveau design xD Même si celui ci est pas mal ! xP

Histoire du personnage:

Je suis né en Californie, dans un coin reculé de Sacramento. Je peux vous dire que la vie la bas était très monotone. Moyenne d’âge, cinquante ans, autant vous dire que les sorties avec les copains s’étaient pas de la rigolade. On ne pouvait rien faire sans craindre d’effrayer les pauvres habitants du quartier. A l’époque j’étais quelqu’un de très bagarreur, d’après mes parents j’étais un terrible. Cela ne m’empêchait pas de m’en sortir à l’école. Enfin je n’étais pas le premier de la classe mais je me débrouillais. S’était pas toujours la belle vie mais il y avait du monde pour me soutenir. Les étés s’était toujours difficile. Les copains partaient en vacance, mais moi je devais rester à la maison et aider mon vieux au boulot. J’en est passé des vacances pourris. J’avais treize ans lorsque mes parents se sont séparés. Et oui la vie de famille éclatée. Le passé était vite oublié. Enfin cela dépend pour qui. Mon père céda la vieille maison dans laquelle j’étais né à ma mère pour s’installer dans un studio minable en plein cœur de New York. Pour une fois qu’il faisait quelque chose de bien dans sa vie. Mes mots peuvent sembler durs mais vous savez la vie à la maison s’était rude. Mes deux parents se bouffaient le nez sans cesse, pas un repas, pas un petit déjeuner sans qu’il y est une engueulade. Et moi j’étais au milieu, j’étais neutre, je prenais parti pour personne. A force vous comprendrez que je me suis enfermé dans mon monde et que je suis totalement sorti de la cellule familiale. C’est à ce moment précis que les potes jouent un rôle important.

Mes deux imbéciles de parents n’arrivaient pas à se mettre d’accord sur leur temps de garde. Ils auraient pu faire appel à un médiateur qui les aurait aidés à trancher la question. Mais non, ils préféraient se livrer une guerre. Et dans toute cette histoire, ils m’oubliaient. Moi, leurs fils, le fruit de leur union. Sentiment frustrant que d’être au cœur des débats sans pouvoir donner son opinion. A treize ans vous n’êtes pas encore apte à vivre votre vie tout seul et prendre les meilleures décisions. En attendant, je vivais chez ma génitrice. Quoi de plus normal après tout, c’était elle qui m’avait éduqué. De plus je restais à proximité des amis. Et désormais mes vacances je les passerais peut être au bord de la mer qui sait. Je devais me rendre à l’évidence. Mon père avait toujours été la mais, c’est la vie. Elle est parfois injuste. Je me souviens du noël qui précédait, la justice avait rendu le verdict. Secrètement je souhaitais partir avec mon père mais j’avais l’étrange impression que l’on avait choisie à ma place. Je restais à Sacramento. Mon vieux fit un détour par le village ou on résidait, il avait prit toutes ses affaires emballées dans des cartons. Je me souviens encore du sourire qu’il arborait sur son visage. On lui avait tout volé. Ma mère lui avait prit les meilleurs années de sa vie, lui avait brisé le cœur et moi, j’avais anéantis tous ses espoirs, tous ce dont pourquoi il s’était battu. Une fois dehors, il fit ronfler la carcasse qui lui servait de voiture et prit le large pour New York. Je pensais ne jamais plus le revoir.

Une année s’était écoulée depuis cette décision. J’avais vu mon père que cinq fois. Et le nombre de fois ou je l’avais entendu n’est pas plus glorieux. La situation avec ma mère empirait à chaque fois s’était le conflit. De mon coté, je ressentais vraiment l’envie de bouger. Surtout que le courant ne passait plus avec celle qui me considérait comme son fils. En un an, il s’en était passé des choses. D’après le peu d’information que j’avais, mon père était tout seul, dans son appartement miteux. Il avait arrêté son travail de privé pour se consacrer entièrement à sa passion. La musique. Il se produisait tous les soirs dans un bar devant des dizaines de spectateur complètement ivre. Le pire c’est qu’il touchait que cent dollar la soirée. De son coté ma mère n’avait pas trainé, elle s’était trouvé un type plus jeune qu’elle. Pour ma plus grande joie, ce gars avait déjà un gamin. Même âge que moi. Je ne pourrais pas vous dire combien de fois on s’est taper dessus. Mais une chose est sûr, c’est toujours le même qui allait se plaindre. Lui. Il faut dire que j’étais également affreux avec son père. Le pauvre il n’avait pas une minute de répit. Je me trouvais dans mon droit. Comment ce gars pouvait se croire chez lui, comment osait il me dire que mon père ne se préoccupait pas de moi et que je pouvais l’appeler papa. Bref, je fis mon possible pour mettre un terme à leur relation et évincer les intrus qui s’étaient introduit dans ma vie. J’usais de tous les subterfuges et autres gaminerie pour arriver à mes fins. Toutes sans exception et souvent, j’allais y chercher loin.

En y repensant, je me demande bien comment ma mère n’a pas craqué plus tôt. La faire rompre avec son ex petit copain n’était en réalité pas le but premier. Cependant je pouvais le rayer de la liste de mes priorités. Maintenant je devais à tout prix me faire renvoyer de l’école. Le plan avait fonctionné comme sur des roulettes. Après deux ou trois bastons contre d’autres élèves, un peu de casse dans l’établissement, je ne tardais pas à être renvoyé définitivement. J’attendais patiemment de voir la réaction de celle qui m’avait mis au monde. J’imaginais ce qu’elle allait ressentir. Le but était simple, je devais l’énerver un maximum pour la pousser soit à la faute, soit l’amener à m’envoyer chez mon paternel. J’étais sur la bonne voix. Car non seulement je m’étais fait virer du collège mais il s’avérait que s’était le seul à des kilomètres à la ronde. La sentence était tombée, j’étais privé de sortie, de jeux vidéo, le temps que je retrouve une nouvelle structure qui veuille bien m’accueillir et que je présente des excuses aux gens à qui j’avais manqué de respect. Comme à mon habitude, je faisais l’entêté, je me renfermais. Qui aurait pu croire instant que je respecte les règles établies ? Que ma mère je pense. Premier soir de punition, première transgression. Autant vous dire que ce soir la, je m’étais éclaté. Avec les copains ont avaient acheté quelques bouteilles d’alcool chez le grossiste du coin. Exactement cinq litre de tequila. Plus qu’il en fallait pour venir à bout de six adolescent en manque de sensations forte.

Je peux vous assurer que cette nuit la fut la plus longue de toute ma vie. Ma première cuite, j’étais âgé de seulement quatorze ans. Je ne sais pas si vous vous rendez compte l’espace d’un instant ce que cela peut engendrer chez un adolescent qui n’a jamais touché à un verre d’alcool de toute sa vie. Moi je peux vous répondre. Cela est déroutant, on a l’impression d’être ailleurs. Ma vision se troublait, j’avais l’impression de ne plus toucher le sol. J’avais la tête qui tournait pendant que mon corps restait immobile. La nette impression que tu ne contrôle plus ton cerveau, ni même tes membres. Bref la délivrance après quelques heures de calvaire. Tout s’arrête, tu t’affale sur le sol, vomit tout ce que tu peux ! Enfin c’est la fin pour les plus chanceux d’entre nous. Moi je me rappel m’être fait contrôler et arrêter par la police. A quatre heures du matin dans les rues de la ville avec pas loin de deux grammes dans le sang. Une chance de m’avoir retrouvé qu’ils disaient ces gros malins. Sans le savoir, je venais de forcer le destin. Comme j’étais mineur, le bureau du shérif contactait madame Skyrel pour l’informer de leur trouvaille. Je crois que je venais de gagner. Réveillée à quatre heures et demie du matin pour apprendre que son rejeton de quatorze ans à été retrouvé sur le bord de la route en état d’ivresse, elle était fatiguée de lutter. Je ne sais pas ce qu’elle leur avait répondu, tout ce que je sais c’est que j’ai passé la fin de la nuit dans leurs locaux. Le lendemain matin, j’avais été raccompagné par la patrouille qui m’avait ramassé. Mon père m’attendait devant la maison.

Touchante retrouvailles auxquelles ma mère ne participait pas, préférant ne pas gâcher cet instant. Elle me fit un signe par la fenêtre, même si j’étais à une distance assez éloigné, je pouvais remarquer qu’elle pleurait. Pas de sa faute me diriez vous, la pauvre il fallait la comprendre, un divorce, une rupture, son fils qui fait que des conneries. Il était grand temps de partir avec ce bon vieux Jack. C’est fous un an s’était écoulé et il avait toujours la même caisse, toujours cette bonne vieille Ford Thunderbird. Un tas de rouille. Je ne comprenais pas comment elle faisait pour être en si bonne état et pouvoir aussi bien rouler. Mon père lui avait beaucoup changé, il avait perdu du poids. Les traits de son visage étaient plus marqués, il était mal rasé. Il avait l’air épuisé. Le trajet se déroulait sans aucuns problèmes. Nous avions parlé de tout et de rien. En quelque sorte nous avions tenté de rattraper le temps perdu. Il me semblait que s’était inutile. Cela faisait déjà bien deux heures que nous étions sur la route. Il faisait nuit et je commençais à m’impatienter. Mes yeux se faisaient lourds j’avais besoin de me reposer. Je m’endormais lorsque je fus réveillé par un bruit de téléphone portable. Mon vieux venait de recevoir un appel de son patron. Il devait se rendre immédiatement au bar, le gros comme il l’appelait avait besoin de lui. Une chance pour lui que nous étions arrivés. Il faisait nuit mais New York était éclairé, pas étonnant qu’on la surnomme la ville qui ne dort jamais. Les affiches publicitaires qui éclairent une zone entière, les buildings ou les gars ne s’arrêtent jamais de travailler.

Je ne savais pas du tout ou je foutais les pieds mais une chose était sûr, je devais me faire à mon nouvel environnement. Trouvé un nouveau collège, me faire des potes, éviter un peu les embrouilles. Et peut être trouvé un sport. A réfléchir ! Ce qui est bien quand tu change d’Etat, personne ne regarde d’où tu arrive. Ce qui veut dire que j’allais avoir aucuns problèmes à retrouver un établissement scolaire. Nous étions arrivés devant le bâtiment ou il habitait. A voir le quartier, je devinais sans mal l’état de son appartement. J’aurais pu habiter dans une grande et luxueuse maison à Sacramento mais non j’avais insisté pour venir crécher dans un taudis. La vie nous pousse à faire de drôle de choix. A peine j’étais descendu de la voiture que mon père m’attrapait le bras pour me tirer vers ce qui faisait office d’un hall d’entré. Je venais de comprend que le coin n’était pas très sûr la nuit. Le genre de quartier ou tu peux te faire planter, braquer ! Malfamé quoi ! Pas besoin de vous faire le tableau. Une fois à l’intérieur, je découvrais l’état des lieux. L’escalier qui menait vers son appartement était en bois. A chacun de nos pas, les marches craquaient. S’était à se demander si on allait arriver à l’étage. Dans le studio, c’était le foutoir. La vaisselle pas faite depuis des jours, des cadavres de bouteilles qui jonchaient le sol. Mon père était devenu alcoolique, j’en avais la certitude. Avec précipitation, il dissimulait tout ce qui aurait pu me donner une mauvaise image de lui. C’était assez amusant de le voir shooter les canettes de bière vide et les récipients en verre. Il dégageait le désordre présent sur son canapé, il tira alors sur une anse en tissu et le meuble s’allongeait en lit. Mon vieux m’avait demandé de rester bien sagement au pieu pendant qu’il allait bosser. Comme si j’allais l’écouter.

Je me posais sur le lit en attendant qu’il sorte. Deux minutes après j’étais dehors, fallait bien que je repère les lieux ? Malgré l’heure tardive, il y avait beaucoup d’individus dans les rues, énormément de véhicules qui circulaient sur la route. J’avançais à grande enjambés sans savoir ou mes pieds allaient me conduire. Au bout d’une heure, je semblais être perdu. Je devais retrouver mon chemin. J’empruntais de sombres ruelles. Au carrefour de l’une d’entre elles, j’aperçu une silhouette, une forme, en m’approchant, j’avais cru reconnaitre mon père. Je n’avais pas pu en avoir le cœur net vu que celle-ci disparut aussitôt. Je me persuadais que ce n’étais pas lui. Il travaillait à cette heure ci. Je secouais la tête comme pour effacer de mauvaises pensées. Quelques mètres après, au détour de la rue, j’avais entendu des cris, des grondements. Deux personnes étaient entrain de lutter. Je me cachais derrière le mur sur lequel j’étais appuyé. Deux hommes. L’un d’entre eux venait littéralement de plonger son bras dans le corps de l’autre qui s’étala sur le sol. Devant ce spectacle, je n’avais pas réussi à retenir un cri qui me déchira la gorge. Pas le temps de bouger que ce type était devant moi, un coup et je tombais sur les pavés, les genoux frappèrent lourdement, suivit de ma tête. Je ne comprenais pas, je me sentais mal. Je relevais les yeux pour contempler mon agresseur, il était louche, j’avais jamais vu cela auparavant, je posais mes deux mains sur mon crâne. J’avais horriblement mal. Mes mains retombèrent et je plongeais mon regard sur celles-ci.

Ce soir la, la vie avait décidé de me laisser une seconde chance. Je ne sais pas pourquoi il ne m’avait pas achevé mais je me souviens être tombé dans les pommes. Pas tout à fait, j’avais la vue troublée mais je distinguais de vague forme. Un type me portait dans ses bras. Je n’arrivais pas à me concentrer pour le reconnaitre. C’est alors qu’il m’appela par mon prénom. Je pensais avoir reconnu, cet être. Ou peut être pas. J’étais épuisé et choqué, mes yeux se fermèrent.

« Papa »

Quatre années s’étaient écoulées depuis cette étrange rencontre. Je n’avais toujours pas eu la réponse. Je ne savais toujours pas ce qui se passait au dehors, aux abris des regards indiscret. Peut être un jour j’en apprendrais plus. Je sais que depuis ces évènements, mon père m’a poussé à apprendre un sport de combat. Je trouvais cela anormal d’autant plus qu’il avait toujours refusé que je monte sur un ring. J’avais choisis mon domaine, la boxe thaïlandaise. J’étais un dur, un coriace, je devais pratiquer un art à ma hauteur. J’exerçais celui-ci depuis quatre ans maintenant. Je m’étais fait une place au sein du club. Je me souviens de ce bon vieux Spade, mon rival. On se mettait des sacrés tannés à cette époque. T’ira loin petit. Les paroles de mon entraineur résonnaient encore dans ma tête. Le pauvre qu’en j’y pense la vie s’acharne vraiment sur les meilleurs d’entre nous. Je me suis toujours promis d’aller déposer une fleur sur sa tombe. Le remplaçant de Charly, je n’ai jamais accroché. Toujours la pour me rappeler que la mort du coach s’était du passé qu’il fallait que je passe à autre chose. Mais sans lui s’était plus pareil. Je ne pouvais pas arrêter, j’avais fais une promesse. Des choses étranges se tramaient. Mon père n’était plus le même. Certes, il avait arrêté la boisson mais il me dévoilait un autre visage. A croire que s’était lui cette silhouette ce soir la… Fallait que je me renseigne.

Un an de plus aujourd’hui ! Mon vieux m’avait révélé sa véritable identité. Au début je pensais qu’il se foutait de ma gueule. Mais le puzzle se remettait en ordre. Son boulot de détective privé, parfaite couverture pour agir la nuit. La silhouette qui lui ressemblait étrangement, le type bizarre qui m’avait attaqué. Tous ces éléments rajoutés à d’autres étaient obligés de me faire reconnaitre la vérité. Mon père n’était autre qu’un Chasseur de Démon. A quoi cela consistait au juste ? Trouver et tuer toutes ces abominations. Laver la ville de leur présence ? J’entamais une périlleuse carrière, j’arrêtais brusquement les études. De toute façon je n’étais pas fais pour ca. Je voulais désormais marcher sur les traces de mon père.

Ainsi, j’inscrivais mon nom parmi tous ces inconnus qui luttaient secrètement dans les ruelles et les coins reculés de la ville. Je n’avais qu’un but en tête ! Lavé les rues de cette ville, et faire connaitre mon nom jusqu’au fin fond de l’enfer…

Mes premiers jours de chasseur furent extrêmement difficiles. Je devais prendre le rythme. Le plus dur à mon avis était de s’habituer à mon nouveau mode de vie. Par la même occasion, je redécouvrais mon paternel. Je l’avais même vu retrouver le sourire. A croire que cela lui faisait plaisir de voir son fiston suivre sa voie. Quoi qu’il en soit, je devais suivre une certaine formation. Celle dont personne ne doit être au courant. Je devais avant tout apprendre à reconnaitre, faire la différence entre un humain, et tout ce qui ne l’était pas.



En cours...

Je ne m'attendais pas à ce genre de fin, quoique... ^^

Bravo pour cette fiche ! Bien écrite et jolie, il n'y a rien à dire, je pense. Au niveau des descriptions, je me tape des barres, c'est pas possible ! Ca me rappelle que j'ai déjà écrit quelque chose dans ce genre-là mais en moins provocateur.

C'est MORTEL!!!!!

J'ADORHEUUU

Bienv'nue

Merci à vous deux ! C'est super sympas et cela me motive encore plus !

Pour la description physique je voulais changer, faire un truc nouveau (enfin pour moi ) réussi je pense xD

En tout cas je suis bien content que cela vous est plu ^^

C'est vrai que la présrntation est pas mal ! ^^ Bien original à souhait. Pour moi, ce sera bon, avec pour avis un niveau 4 ou 5. Vergil donnera son verdict !

Au plaisir de se voir dans le RP !

Salut !

Je préfèrerais un rang niveau 5 mais j'attendrais le verdict final xD (c'est pas tout mais je me suis épuisé a faire cette présentation ^^ )

Amicalement

Je donnerai niveau cinq aussi. ^^

Salut,

J'ai été un peu moins convaincu que Lylith et Irina par ta présentation. Autant les descriptions sont stylées et agréables, autant l'histoire ne m'a pas tellement emballé. Des fautes de c' s' est étaient été... Assez marquantes. Sinon le contenu est original, assez sympathique au niveau du contexte et de l'imagination.
Ensuite, les descriptions de tes armes sont assez surpassées, c'est à dire un katana quasi indestructible, un anaconda léger à la cadence de tir augmentée... Bon, pourquoi pas ? Mais on n'a aucune explication quant à l'origine de ces armes dans ton histoire. Et quand bien même il les possédait, il commence juste son parcours de Devil Hunter et n'a donc aucune expérience. Bien que la présentation puisse prétendre un niveau 5, ton personnage en lui même me semble encore trop frais (selon son histoire) pour être classé comme tel, tu crois pas ?

(Je suis un petit plus dur avec toi qu'avec les autres, j'en ai conscience mais il faut que tout soit presque parfait, sur cette présentation là, puisque tu es le fondateur ^^)

Arf, ça m'apprendra à lire trop vite. X) Et je viens sur les non-dits *tourne ses pouces d'un air penaud* : c'est vrai que j'ai trouvé l'histoire bizarre dans un certain sens (non, Nake, ne me frappe pas ! >_<), bien que le reste, je le trouvais pas mal. *a superbement honte, se dit qu'il serait temps qu'elle se couche plus tôt*
M'enfin, c'est bien que tu sois là Gil, car mon jugement sur les fiches laisse à désirer, on dirait (19 ans et presque aveugle, on aura tout vu... ).

Coucou !

Je suis tout à fait d'accord avec toi Vergil ! Donc je vais allonger mon histoire pour dire comment j'ai eu ces armes et ce qui justifierais le fait que la lame soit quasi indestructible et que le colt est été modifié . Pour les fautes je me relirais quand j'aurais le temps pour les corrigées.

Je suis de retour beaucoup de boulot ces temps ci ! Je me penche sur ma présentation pour essayer de la finir !

Amicalement