Hel Caddick

Prénom : Gaëlle

Age : 20 ans

Passion : Robin Hobb, les rps, le cinéma, les comics, les mangas, mon PC <3

Comment avez vous connu le forum ? : Sinatra <3



Nom : Caddick

Prénom : Hel

Age : 21 ans

Race : Humain

Vocation du personnage : Devil Hunter

Hel aime les armes blanches. Principalement les poignards qu’elle manie avec dextérité. Mais elle sort rarement sans ses deux semi-automatiques, qu’elle ne prend même pas la peine de cacher. Ils sont tous les deux accrochés à son jean, menaçant quiconque voudrait se frotter à elle. Sinon, elle possède un fusil de sniper qu’elle ne sort que pour les grandes occasions



Hel est sournoise, et très souple, elle se faufile silencieusement, escalade, toutes les techniques sont bonnes pour prendre au dépourvu.
Elle est plutôt expéditive, elle n’est pas du genre à avoir de remord si elle frappe lorsque son ennemi et de dos ou même à terre. Un coup de couteau dans la trachée, ou une balle tirée du haut d’un immeuble, ce sont ses techniques de prédilection. Elle aime se renseigner sur ceux qu’elle nomme, ses proies, connaître son ennemi c’est connaître ses faiblesses, et lorsqu’elle est forcée de mener un combat au corps à corps, sa souplesse, sa rapidité et ses couteaux feront d’elle une ennemie à ne pas prendre à la légère.


Hel a de longs et indubitablement emmêlés cheveux châtains, dont elle attache aléatoirement quelques mèches. Ses yeux inexpressifs la plupart du temps, sont d’un gris acier, et ses lèvres, qu’elle mordille à la moindre contrariété, délicatement rosée. Son visage est doux, mais ne vous y fiez pas… elle connaît son apparence, et en use pour abuser, flouer les jugements des gens à son égard.
Elle mesure environ 1mètre75, à de longues jambes, elle est d’allure longiligne et athlétique, des bras finement musclés, et un ventre plat. A première vue elle est frêle et inoffensive, mais son corps élancé et un atout pour le combat. Elle possède un anneau au nez, et quelques boucles d’oreilles, dont une particulièrement voyante en os, son bras gauche comporte deux tatouages qu’elle a fait faire sur un simple coup de tête, pendant cette phase instable qu’on nomme adolescence. Elle s’habille généralement d’un simple jean, taille basse, élimé, et déchiré, maintenu par une ceinture à laquelle est accrochée ses revolvers. Ses hauts sont courts, rehaussé généralement par ses sangles fines dans lesquels elle peut coincer des armes si besoin est.


Hel est orgueilleuse, voir hautaine, elle n’a pas d’attaches, et n’envisage pas d’en avoir. Pour Hel, il n’y que deux choses qui comptent, sa propre vie, et l’argent. Si l’ont effleure d’un peu trop près ces choses, elle peut se montrer impitoyable. Elle aime à penser qu’elle est la meilleure, elle ne pardonnera jamais une défaite, ni une contradiction et encore moins la compassion. La plupart du temps elle se montre exécrable. De nature vulgaire, elle n’hésite pas à jurer entre ses dents ou à insulter. Elle se méfie de tout et de tout le monde, si elle se sent menacée elle devient incontrôlable, elle tire avant de songer aux désastres qu’elle peut causer. La diplomatie n’est pas une chose qu’elle emploie souvent, elle préféra mourir plutôt que de se rabaisser à supplier. Son ego surdimensionné l’a déjà entraîné dans de périeuses situations, mais il semblerait que rien ne fasse rentrer la leçon.


Hel est issus d’une famille modeste, ses parents qui avaient fondé tant d’espoir en elle, se désespérait de ne pas voir, la fille modèle qu’ils souhaitaient. A la place, ils avaient une adolescente, qui ne sortaient qu’avec des bandes de motards tous plus vulgaires les uns que les autres. Elle volait les cigarettes dans le paquet de son comptable de père, et lorsqu’un accès d’autorité le prenait, elle se contentait de lui rappeler qu’il serait bien dommage que la mère de famille apprenne qu’il se tapait en douce la secrétaire. Elle s’en sortait avec un sernom démotivé, et quelques billets en poche. Elle était atérée par l’horrible morosité et normalité de sa famille. Elle allait à peine au lycée, rattrapant ses nuits sur ses heures de cours, le doux bruit de ses parents qui hurlent dans le salon la berçait lorsqu’elle rentrait au petit matin. Lorsque par malheur un de ses deux parents tentaient de l’extirper du lit pour l’envoyer remplir sa tête d’ineptie auprès d’un professeur hagard, dans un bâtiment vétuste et auprès de camarades qu’elle méprisait, les géniteurs la trouvaient généralement avachis dans son lit, un garçon lui tenant compagnie.

Sa mère se désespérait de la voir rentrer, nuit après nuit, débraillé, ivre, parfois même avec quelques bleus. Mais elle ne pouvait se douter que sa fille affectionnait particulièrement les combats de rue, et que les jeux favoris d’Hel, et de ses amis motards, étaient de débusqués de petits démons pour mieux les tuer. Là ou les gens ne voyaient que de ridicules rumeurs, eux voyaient un jeu. Un jeu qui rapportait gros, puis qu’ils pariaient sur l’issus du combat. Ils enfermaient un des leurs avec un démon, et lançaient des pronostics. Hel aimait être dans la cage, la montée d’adrénaline, le danger, pas vraiment réel, puisque dans le cas ou le démon prendrait le dessus, les organisateurs de ses petits matchs intervenaient munis de gros calibres.

Le grondement d’une moto, et des crissements de pneu précédait généralement la venue de la tendre progéniture. Un soir qu’elle rentrait tôt chez elle, carrant les épaules et s’apprêtant comme d’habitude à se faire agonir d’injures et de reproches parfaitement justifiés. Elle ne trouva que pleures et désolations. Sa mère était effondrée, la tête entre les mains, et lorsque Hel entra, c’est d’un œil vide qu’elle l’observa sa fille. Ses traits se crispèrent d’un coup, et la tasse posé devant elle se fracassa à quelques centimètre du visage de sa fille.

-Petite traînée, tu ne mérites pas de vivre.
-Qu’est ce…
-La ferme !

Sa mère avait hurlé, c’était bien la première fois. Elle haussa un sourcil, détaillant son visage ravagé par les larmes. Elle paraissait désespérée, toute emplie de souffrance, elle attrapa un vase et à nouveau le lança sur sa fille. Hel eut juste le temps de se reculer et de trébucher tombant brutalement sur le sol. Et avant qu’elle n’est pu articuler le moindre mot, sa mère reprit, implacable, la voix rendus rauque par les larmes.

-Ton père et moi, on t'a suivit, on a vu votre repère, on t’as vu partir aux bras de ce type. Mais alors que ton père a voulut te ramener à la maison. Ils nous sont tombés dessus. Tes amis… ils ont mis ton père dans cette foutue cage… Et tu sais quoi il est mort comme un chien, parce qu’ils riaient trop de le voir essayer de lutter, ils ne sont pas intervenu. Pendant que tu jouais à la pute ton père est mort. Pour équilibrer tout ça je vais te tuer… j’aurai du avorter il y a 17 ans, je vais y remédier.

Hel était effarée, son cerveau ne parvenait pas à faire les liaisons, mais quand la première balle la loupa de peu, ce fut son instinct qui reprit le dessus. Elle se jeta sur sa mère, arrachant l’arme de ses mains. Un nouveau coup de feu perfora le plafond, et un cri résonna chez les voisins du dessus. Le silence qui régna ensuite fut assourdissant, puis sa mère ivre de rage reprit la parole.

-Vas-y tue moi, t’as déjà tué ton père ! Tue moi ! Flingue ta mère !

Le visage rouge, et les yeux révulsée de sa mère lui donnait la nausée, elle était devenue folle, avait-elle assisté à la mort de son mari, ou s’était elle caché dans un coin écoutant les rires et les bruits du combat. Pour la première fois, Hel ressentie de la culpabilité, la mort dans l’âme elle repoussa sa mère, crispé à son bras, celle-ci s’effondra sur le sol, secoué de sanglots, seul quelques insultes traversaient ses larmes. D’un pas lourd elle entra dans sa chambre, attrapa quelques vêtements, l’argent qu’elle avait économisé grâce à ses combats et avec lequel elle envisageait de s’offrir une moto et enfourna le tout dans un sac. Après quelques hésitations elle y jeta également le revolver, et ressorti de sa chambre pour aller chercher le deuxième qui se trouvait dans le bureau de son père, et le coinça dans son pantalon. Elle jeta son sac sur le dos, et ne remit plus jamais les pieds chez elle, il lui était intolérable d’affronter le regard de sa mère, elle était dorénavant une paria. Elle attendit le petit matin, et acheta la moto Ninja noir qui l’a faisait rêver. A traîner qu’avec des motards elle avait appris la mécanique, et elle occupa son premier après midi de paria, à bricoler sa moto pour qu’elle aille plus vite.
Tout était bon pour ne pas penser, pour ne plus voir le visage révulsé de rage de sa mère, et imaginer la fin horrible de son père. Dans la journée, elle arpenta la ville en quête de travail, elle fut embauchée comme garagiste à l’essai, dans un petit garage du centre ville, qu’elle connaissait pour y avoir traîner avec des amis. Elle put s’offrir un appartement miteux, et continua les combats pour arrondir les fins de mois.

Phrase de Confirmation : Phrase OK

Salut !

Bienvenue sur Devil May Cry Legends !

Bon, un personnage intéressant, des bas fonds, dans l'esprit de Devil May Cry, j'aime beaucoup. L'aspect débauchée dans toute sa splendeur ^^.

Tes descriptions, basiques mais jolies auraient peut être valu un grade de Maîtresse Devil Hunter, mais l'histoire donne un grand coup de boost à ta fiche. C'est super bien écrit, de l'idée...

Donc, je te valide au grade de Devil Hunter Suprême, comme l'amie Sinatra .

Voilà, bon jeu, si tu as des questions n'hésite pas !

Ciao !

[Désolé pour le manque d'inspiration de la validation, j'suis à sec en ce moment]