[Présentation] Vergil

~~¤° Joueur °¤~~

Prénom : Clément

Age : 15 ans

Passion : La Musique, les sorties entre amis, et le multimédia.

Comment avez vous connu le forum ? Par une pub faite sur un autre forum de Devil May Cry

~~¤° Personnage °¤~~

En rénovation

Nom : Vergil

Age : Inconnu

Race : Mi Humain Mi Démon, Fils de Sparda et d'Eve.

Vocation du personnage : Démon Suprême, désireux de la toute puissance.

Armement : Son Katana, Yamato souvenir donné à Vergil par son père, ce sabre antique a scellé le passage entre le monde des Démons et celui des humains, il est capable de trancher n'importe quoi.

Sabre autrefois utilisé par le bretteur démoniaque Sparda, dans tous les endroits où il est conté, on lui confère une puissance immense. De son pommeau d'or, par delà sa poignée aux tissus blancs scindée par l'armature bleue nuit coupée par sa tsuba parfaitement mariée au pommeau jusqu'au bout de sa lame. Fil divin du trépas, aux aléas métalliques d'une pureté innée. Irrésistible éclair argenté, sans rival ni égal, à la douce symphonie mortelle, sonnant le glas à chacune de ses arabesque.

Outre la coupe légendaire de la lame, ce sabre, à travers tout âge et toutes légendes est doté d'une énergie magique des plus dévastatrices. Clef des enfers, ses coups sont réputés imparables, tant par la rapidité du Katana en lui même, que par la vague d'énergie qu'il dégage, lorsque Vergil daigne le laisser s'exprimer dans son franc parler.

Ainsi, pour avoir combattu d'innombrables fois l'un à côté de l'autre, ce couple, ce guerrier et cette arme, aussi légendaires l'un que l'autre se connaissent parfaitement, et peuvent exploiter toutes leurs ressources pour donner à leurs combats des dimensions aussi extravagantes que cruelles et efficaces...

[Présentation] Vergil Yamatoxf9

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Style de Combat :

Rapidité est le maître mot en matière de combat du fils maléfique de Sparda. Bon nombre de ses coups sont imprévisibles et pas moins sont indiscernables à l'œil nu. Usant principalement de son funeste ami, son Sabre Yamato, Vergil aime faire jaillir le sang sans que sa victime ne puisse voir son sort se dessiner. Des charges brèves et terriblement efficaces marquent ses affrontements un instant de toute offensive suivi d'un ralentissement conséquent, lacérant tout ce qui peut avoir le malheur de se trouver sur ses pas lors de ses assauts. Fort de ses pouvoirs en tous genres, hypertrophiés par son sang, celui du Fils de Sparda, il n'hésite pas à donner dans l'esthétique, s'accordant parfois des écarts majestueux, sans pour autant se mettre en danger.
Voir Vergil combattre peut donner à vos esprits l'impression d'assister à un rêve, des hallucinations, tant sa maîtrise de l'affront est poussée, pourtant il n'en est rien, et rien n'est plus déconseillé que de vouloir se mesurer à sa puissance légendaire.

Description physique :

[Présentation] Vergil Vergildv4

Avatar de l'élégance, incarnation de la "classe" divine, voici cet être, au physique aussi plaisant que mystérieux.
Nul besoin d'user des mesures métriques ou pondérales, Vergil ne se distingue pas de par sa silhouette. D'une taille se situant dans la moyenne, pour une corpulence plutôt maigre il peu se fondre de ce côté là dans le commun des mortels, ou des immortels...
Un buste droit et d'apparence solide, surmonté par une paire d'épaules puissantes, maitresses de son image superficielle, taillant une paire de bras solides, aux muscles respectivement dessinés sans tomber dans un quelconque excès. Sachez que cette règle est valable pour l'ensemble de son corps. Arborant un torse rudement construit, marqué par des avancées pectorales conséquentes, ainsi que des abdominaux infaillibles et correctement dessinés, il est clair que son buste est digne de son rang de guerrier légendaire. Suite logique et perpétuelle de son corps, ses jambes restent dans la moyenne, dans Sa moyenne, à l'intensité devinée par la rapidité et la tonicité de ses mouvements.

Constamment vêtu d'un long manteau de cuir bleu, turquoise sombre, au col encerclant la partie arrière et latérale de sa nuque, se prolongeant jusqu'à ses pieds, sans se trainer, car rien en lui, pas même son affublement ne rampe... Veste taillée sous une couture défiant le qualificatif "haute", l'intérieur de la pièce est couleur ocre, alors qu'un motif blanc court depuis son flanc gauche jusqu'au fond des remous de toile où se termine la cape. Des manches tombantes aux lanières décoratives bordées de bandes couleur or, comme les boutons qu'elles agrémentent, sont là les seules attaches de la pièce, car Vergil ne semble jamais enclin à clore son accoutrement par delà son torse.
En dessous de ce Manteau s'étend un corset sans manches bleu nuit, dernier rempart entre l'air banal et la chair de cette idole coiffé d'albâtre. Constitué de solides lamelles de cuir là aussi, qui se croisent en un axe médian prolongeant le sternum de notre homme, en des arcs de cercles penchants vers le bas s'abaissant sous le regard du Fils de Sparda.
En deçà de ce haut, se dresse un ample pantalon de toile à la texture écailleuse imitant les plus fines et prestigieuses peaux reptiles, d'une couleur semblable au corset le dominant.

Description Mentale :

Vergil est quelqu'un de purement froid et cruel. Son chemin sur la route du mal lui a forgé un caractère unique et effrayant. Tuer ne l'impressionne en aucun cas, et sa quête de puissance lui a aveuglé la réalité si bien qu'il ne distingue plus le bien du mal. Car Vergil a toujours voulu plus de pouvoir, et ce au détriment de tout ce qu'il chérissait. Il se montre souvent méprisant envers autrui, car, du haut de son statut de Fils de Sparda, il se sent intouchable. Sa témérité et sa soif de pouvoir a grandement influencé ses actes jusqu'à le forger lui même, il n'est que le moule de sa cruauté. Car maintenant il ne s'encombre d'aucun sentiment. Bien que, dans un fond très reculé il reste quand même une part d'humanité en lui, au fond de cette enveloppe démoniaque se cache peut-être quelque chose de bien moins effrayant.

Et comme j'aime beaucoup mon personnage, je vous met son arrivée dans la Temen Ni Gru au début de Devil May Cry 3 Spécial Edition.

Histoire

A finir

- Évènements survenus après la défaite face à Dante, en tant que Nelo Angelo, serviteur de Mundus.

"Qui suis-je ? Quel est cet endroit ?"

Une nuit sans fond, inonde ce monde parallèle, où tout n'est qu'illusion. Des milliers de cris de lamentations raisonnent, mais trop faiblement pour être entendus. La pression dans cet endroit est immense, et erre une infime et invisible trainée de pensée, celle du Fils d'un dieu sacrifié sur l'autel de la cruauté.

Frustrée de n'avoir ni réponse ni confort, l'âme déchue sembla essayer de se mouvoir, de frénétiques vibrations agitèrent son enveloppe immatérielle, pour s'évanouir dans un frisson de colère. La honte s'empara de cet être, la honte et la haine, contre cette faiblesse qui fut mère de son trépas. Tant de questions se bousculaient dans sa tête, et rien ne lui semblait vrai, pas même ses songes... Il dérivait dans l'infini vers l'infini, sans crainte, car rien ne pourrait plus l'affliger maintenant. Toucher le fond serait le terme exact. Dans tout son désarroi, il attendant, dans un sommeil qui n'en était pas un, dans une nuit qui n'en était pas une.

Soudain, tout fut de blanc immaculé, d'une lumière aveuglante, l'espace d'une seconde. Pour revenir à un espace intermédiaire, flou. Alors vinrent des images, une suite d'images brèves, qui mises les unes à la suite des autres semblaient signifier quelque chose pour l'âme errante. Quelque chose de quasi irréel qui avait cependant une valeur concrète inébranlable. Ces images représentaient son vécu. L'âme y voyait une immense statue de pierre lui courber l'échine, un château en ruine, des salles somptueuses, et des couloirs hideux... Un balcon et un visage familier, deux amulettes. Une armure pourpre, de la violence, la douleur, la lueur puis le néant. Chaque image semblait durer une éternité, or la série complète ne parût être qu'éphémère. Et tout redevint noir, dans un espace infini sans lumière, où la seule compagnie de cette âme se résumait aux murmures d'une douleur sans nom. Ici, par delà le bien et le mal, le blanc et le noir, la vie et la mort il n'y avait rien hormis la peine.

Le filament de pensée n'avait strictement aucune notion du temps, et chaque seconde fût-elle millénaire, il n'aurait pas pu en avoir le moindre soupçon. Alors évoquer le temps resté dans cette représentation du rien absolu était tâche impossible. Cependant, cette âme semblait différer des autres disposées à une distance incommensurable les unes des autres, elle pouvait continuer à penser, continuer à exister à se mouvoir. Elle était misérable, sans aucun pouvoir, sans aucune liberté sans aucune maîtrise de soi, mais elle était en vie. Et ce n'était pas un hasard. Au fur et à mesure de son voyage dans le néant, cette âme finit par se souvenir de son nom... Vergil.

Du moins, ce qu'il en restait. Car ses récents échecs l'avaient réduit à ramper là où le tout n'est plus qu'abstraction d'une réalité physique tellement lointaine qu'elle pourrait n'être qu'illusoire. Et Vergil se souvint de sa vie entière, depuis sa naissance jusqu'à son trépas. Les premiers pas sur le chemin de la damnation, les premiers coups, les premiers idéaux de pouvoir, les premiers meurtres, les premières entreprises, les premiers échecs, les premières renaissances, les dernières chutes. Et à ce moment là, il était presque rien. Le destin lui avait volé tous ses sens, toute consistance, mais il avait réussi à garder sa pensée, ce qui importait le plus. Et durant son voyage dans l'ailleurs, il pu réfléchir sans aucune limite... Jusqu'au jour où l'immensité noir prit un nouvel aspect.

Car au fur et à mesure de son exil, le filament de pensée avait mûrement réfléchi, et chaque trait de force mentale qu'il gagnait semblait le matérialiser un peu plus. Il ne le savait pas, mais la puissance de son âme, lui rendait son apparence, et sa consistance corporelle. Chaque souvenir, chaque prise de conscience, chaque réalité débusquée le fortifiait un peu plus, et cet engrenage cessa jusqu'au moment où il put ouvrir les yeux. Des yeux qui n'avaient rien perdu : ni leur éclat bleu, ni leur profondeur, ni leur froideur. Et là il put voir ce qui n'existait pas, cette immensité noire que rien ne semblait apte à transcender.

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